nouveau controle technique moto

Un contrôle technique moto qui se précise pour 2024 !

Nous connaissons désormais le calendrier de mise en œuvre du contrôle technique moto.

Il devrait être progressivement mis en place dès le premier trimestre 2024.

Le prix de ce contrôle technique réservé aux deux-roues motorisés devrait avoisiner une cinquantaine d'euros.

Une mise en œuvre programmée courant du premier trimestre 2024

Le ministre des Transports, Clément Beaune, a dernièrement prévenu que le gouvernement entendait mettre en œuvre un contrôle technique obligatoire pour les deux-roues motorisés dès le début de l'année prochaine.

Un projet de décret du 25/072022 relatif à la mise en place du contrôle technique des véhicules motorisés à deux ou trois roues et quadricycles à moteur ainsi qu’un projet d'arrêté relatifs à la mise en place de ce contrôle technique ont été récemment soumis à la consultation publique.

L’entrée en vigueur de ce contrôle technique réservé aux engins motorisés s’opérera de manière progressive, en fonction de l'ancienneté des véhicules et de leurs catégories, même si certains détails restent encore à préciser.

A travers cette mesure, le gouvernement indique vouloir diminuer les émissions polluantes et les nuisances sonores en milieu urbain. Et ce, même si les deux-roues motorisés émettent généralement moins de gaz à effet de serre que les voitures.

Quels sont les véhicules concernés par ce contrôle ?

Ce contrôle technique moto obligatoire concernerait l’ensemble des deux-roues à moteur ainsi que les véhicules de moins de 125 cc qui pensaient ne pas être concernés par cette mesure en raison de leurs petites cylindrées.

Néanmoins, le ministère des Transports n’a pas souhaité les exclure du dispositif, avançant qu'ils étaient à l'origine d'une forte pollution de l’air en raison de leurs moteurs 2 temps et de l’absence de pots catalytiques. Par ailleurs, le ministère des transports a mis également en avant une forte accidentologie de ces engins motorisés de petites cylindrées.

Cette mesure concernerait quelques quatre millions de deux-roues motorisés.

A l’heure actuelle, seuls les véhicules non homologués n'ayant pas vocation de circuler sur routes ouvertes seraient exemptés de ce contrôle technique.

Seront aussi concernés par cette prochaine mesure, les trois-roues ainsi que les quadricycles à moteur comme les quads.

Pour les véhicules immatriculés pour la première fois, le contrôle technique deviendra obligatoire après cinq ans. A contrario, pour les véhicules motorisés mis en circulation avant l’entrée en vigueur de cette mesure, il faudra faire procéder au contrôle technique du véhicule, et le renouveler tous les trois ans.

Cette mesure progressive verra les véhicules mis en circulation avant le 01/01/2017 devoir effectuer leur contrôle avant le 31/12/2024. Ceux immatriculés entre le 01/01/2020 et le 31/12/2021 devront avoir effectué ce contrôle au cours de l’année 2026. Ceux immatriculés entre le 01/01/2017 et le 31/12/2019 devront l'avoir réalisé en 2025.

Quel devrait être le coût du contrôle technique moto ?

Le ministère des transports a indiqué que son coût ne devrait pas excéder une cinquantaine d’euros.

La Fédération Française des Motards en Colère, mouvement contestataire motard né dans les années 1980, juge ce coût inacceptable. La FFMC a d’ores et déjà fait savoir que le coût moyen pour une voiture se situant à moins de 80 euros, le coût pour un deux-roues motorisé devrait être d’une vingtaine d’euros " puisqu'il y a quatre fois moins de points de contrôle (il existe aujourd'hui 133 points de vérification obligatoires pour une voiture) ".

Cette mesure devrait générer un chiffre d’affaires de l’ordre de près de 220 millions d’euros pour les centres à l'issue du tout premier contrôle.

Bon à savoir : Un contrôle technique de moins de six mois sera obligatoire pour toute vente d’un véhicule d’occasion. Comme cela est le cas pour les voitures à l'heure actuelle.

Une bien mauvaise nouvelle pour les collectionneurs de motos anciennes

Alors que le ministère des transports a fait savoir que le coût financier de ce contrôle technique ne devrait pas dépasser quelques cinquante d’euros, les propriétaires d'une flotte de motos de collection sont inquiets à l’idée de devoir régler plusieurs centaines d’euros.

Eux qui roulent peu et entretiennent parfaitement leurs véhicules entrevoient cette mesure comme un nouvel impôt.

Une mesure qui ne les fera rouler guère plus, eux qui roulaient déjà très peu.


Drogues au volant : se dirige-t-on vers un retrait total des points du permis ?

L’accident de la circulation très médiatisé de Pierre Palmade en février dernier relance le sujet de la consommation de drogues au volant.

L’humoriste et comédien qui conduisait sous l’emprise de drogues a percuté un autre véhicule .

Cet accident qui a fait trois blessés graves réouvre le débat sur le retrait systématique du permis de conduire en cas d'accident sous l'emprise de drogues.

700 personnes décèdent sur les routes à cause des drogues chaque année

Tous les ans, près de 700 personnes décèdent dans un accident de la circulation impliquant un conducteur sous l’emprise de drogues, soit 21% de la mortalité routière.

L’usage de drogues procure un état incompatible avec la conduite sur route.

La prise de drogues entraîne :

  • Un accroissement du temps de réaction
  • Une diminution du discernement
  • Une altération de la conscience de son environnement

L’accident dont l’humoriste, positif aux stupéfiants, s’est rendu coupable a rouvert le dossier sur la dangerosité des drogues au volant. Au moment de l’accident, il avait pris le volant après avoir consommé de la cocaïne. Il s'est déporté sur la gauche et a percuté frontalement un véhicule qui arrivait en sens inverse.

Un gouvernement en pleine réflexion sur la question

Après le dramatique accident provoqué par Pierre Palmade, le gouvernement français étudie désormais l’opportunité de retirer automatiquement le permis à tout conducteur qui prendrait le volant sous l’emprise de drogues. Les statistiques de la Sécurité Routière, au demeurant déjà inquiétantes ont conforté les pouvoirs publics dans l’idée d’un retrait immédiat du permis de conduire pour les conducteurs conduisant sous l’emprise de drogues (amphétamines, cannabis, cocaïne, ecstasy, LSD, opiacés, …).

Vers une tolérance zéro pour l’usage de drogues au volant ?

A l’heure actuelle, la conduite sous l’emprise de stupéfiants est sanctionnée différemment selon les circonstances. Elle peut être punie d’un retrait de 6 points sur le permis de conduire. Le contrevenant peut être également condamné à une peine d’emprisonnement ainsi qu’à une amende prononcée par le tribunal ou au paiement d’une amende forfaitaire. Il ne risque un retrait de permis qu'après une récidive.

Tout récemment, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a indiqué vouloir prendre des mesures fortes et faire évoluer la législation. Il envisage un retrait direct de 12 points sur le permis en cas de conduite sous l’emprise de stupéfiants ou en cas de forte alcoolémie. Cela se traduirait par un retrait automatique du permis de conduire. Par ailleurs, il voudrait imposer une visite médicale obligatoire aux consommateurs réguliers de drogues, et travaille de concert avec le ministre de la justice pour modifier les textes de loi en ce sens.

Autant dire que le gouvernement entend désormais durcir les sanctions dès la première infraction constatée.


Prenez garde, un train peut en cacher un autre !

Avec l’arrivée des beaux jours, vous êtes nombreux à prendre le volant pour sillonner nos belles campagnes françaises.

Les passages à niveau qui peuplent nos campagnes sont quelquefois le théâtre d'accidents mortels. Chaque année, près de 110 collisions qui pourraient être évitées sont recensées.

En 2021, on comptait encore quelques 24 décès et 14 blessés graves.

Même si ces accidents sont en baisse (à titre d’exemple, 260 accidents en 1988), le bilan n’est pas encourageant. D’autant plus que, généralement, des infractions au code de la route provoquent ces accidents.

Prenez garde, un train peut en cacher un autre !

La France comptait en 2021 près de 15.405 passages à niveau dont 68% étaient situés sur des voies communales.

Par définition, un passage à niveau est un croisement à niveau (c'est-à-dire que les voies qui se croisent sont à la même hauteur) d'une voie ferrée avec une voie routière. Il permet aux trains de transport de personnes ou de marchandises de traverser une route généralement réservée au trafic routier.

Pour éviter toute collision avec un train, voici quelques règles à respecter.

Quelles précautions prendre à proximité de voies ferrées ?

La réglementation en vigueur à respecter à l’approche d’un passage à niveau est régie par les articles R414-12 et R412-30 du Code de la Route.

A toute proximité d’un passage à niveau, il est essentiel d’appréhender la signalétique en place. Pour cela, il faut adapter sa vitesse en ralentissant à l’approche d’un passage à niveau.

Il existe deux types de croisement à niveau, avec ou sans barrières, signalés par un panneau de signalisation triangulaire blanc et rouge. Ils sont signalés de différentes façons, par des barrières de sécurité, des feux accompagnés d’un signal sonore ou seulement par un panneau STOP avec le pictogramme d'une barrière ou d'un train.

Des feux rouges clignotants signalent le franchissement d’un passage à niveau avec des barrières automatiques. A contrario, aucun feu ne signalise le franchissement d’un passage à niveau avec des barrières non automatiques. Un panneau gris rectangulaire avec une croix de Saint-André matérialisant un danger est installé sur le côté de la chaussée. En présence d’un panneau STOP ou d’un feu rouge clignotant, il convient de marquer l’arrêt avant de franchir la voie ferrée.

Comment franchise un passage à niveau en toute sécurité ?

Hors agglomération, un passage à niveau est toujours signalé par des panneaux de pré-signalisation. Ils sont installés à une distance de 150 mètres du passage à niveau avec des balises blanches J10 munies d’une à trois bandes rouges vous avertissant de la distance qu’il reste à parcourir avant le croisement, chaque bande représentant une distance de 50 mètres. Un panonceau M9z peut signaler la présence d'un signal de fermeture automatique des barrières à l’approche d’un train. En l'absence de ce panonceau, la fermeture de la barrière peut se faire manuellement, même si cela n'est pas fréquent.

La signalisation automatique est matérialisée par un signal sonore et des feux rouges clignotants ou non qui vous informent que les barrières vont s’abaisser. Il est impératif d’immobiliser le véhicule au moment du signal sonore. Ce n’est qu’une fois que les feux rouges clignotants s’éteignent que vous pouvez franchir le passage à niveau en toute sécurité.

En présence d’un passage à niveau sans barrières, assurez-vous qu’aucun train n’est en approche avant de franchir la voie ferrée.

passage à niveau

Il est inutile de rappeler qu’il est interdit d’immobiliser son véhicule sur les voies ferrées. Un train à une distance de freinage qui est dix fois supérieure à celle d’un véhicule de tourisme. Elle peut atteindre 500 mètres avant qu'il ne s’immobilise complètement.

Bon à savoir : La SNCF a vocation à sécuriser les infrastructures ferroviaires. Selon la société, 20% des automobilistes déclarent avoir franchi un passage à niveau sans respecter la signalisation. Les véhicules de tourisme sont impliqués dans 74 % des accidents, et dans 56 % des accidents mortels. Il est vivement conseillé de ne pas franchir un passage à niveau lorsque la situation ne l’autorise pas. En cas d’immobilisation sur les voies ferrées, l’automobiliste peut forcer les barrières de sécurité. Elles sont prévues pour ne pas résister aux chocs. Dans le cas contraire, l’automobiliste doit s’extraire du véhicule avec ses passagers. Un téléphone relié à une gare ferroviaire est installé à proximité du passage à niveau pour alerter le personnel ferroviaire en cas de problème.

Quelles sanctions pour le franchissement dangereux d’un passage à niveau ?

Les risques d'accidents sont toujours présents au moment du franchissement des voies ferrées.

Aussi, tout comportement inapproprié sera automatiquement sanctionné pas les forces de l’ordre. Tout conducteur qui ne respecterait pas l’arrêt au feu rouge clignotant, ou qui s’engagerait prématurément alors même que les barrières de sécurité seraient en cours de réouverture, sera sanctionné par une amende forfaitaire de 135 € et la perte de 4 points sur son permis de conduire. Selon l’infraction, une suspension du permis de conduire de 3 ans maximum est possible pour le conducteur.

Depuis 2012, pour prévenir et lutter contre les comportements à risques, des radars sont installés pour contrôler la vitesse et les franchissements au feu rouge. L'objectif est de diminuer les infractions et les accidents au moment du franchissement des passages à niveau.

Ce constat préoccupant ne doit en rien faire oublier les conséquents investissements annuels de quelques 120 millions d'euros réalisés par la SNCF pour moderniser les infrastructures ferroviaires.


Assurance auto prestige

Assurance Mini Cooper : la petite anglaise restée à la mode

La Mini Cooper est une voiture emblématique et toujours à la mode aujourd'hui. Avec son design rétro, elle incarne l'esprit de l'élégance et de l'audace. En tant que propriétaire d'une Mini Cooper, vous comprenez l'importance de préserver et de protéger ce bijou automobile. C'est pourquoi il est essentiel de choisir une assurance voiture collection adaptée qui correspond à votre véhicule.

Chez Mascotte Assurances, nous sommes spécialisés dans l'assurance auto prestige, spécialement conçue pour les voitures d'exception comme la Mini Cooper. Découvrez dès maintenant nos contrats sur mesure qui vous garantissent une protection optimale.

La saga Mini, cette petite voiture anglaise toujours à la mode

La saga de la Mini commence avec une conception pour BMC et une fabrication à Birmingham, au Royaume-Uni. Dès 1959, les premières MINI se commercialisent sous les noms de Morris Mini Minor et Austin Seven, avant de prendre finalement le nom de MINI quelques mois plus tard. Présentée avec le slogan "révolutionnaire sans être extravagante", elle est chaleureusement accueillie par le public.

Au fil des années, la MINI se vend sous différentes marques telles que Austin, Morris, Rover, Wolseley, Riley, Leyland, et sous licence italienne Innocenti, avant de devenir une marque propre en 1969.

Contrairement à ses concurrentes, la Fiat 500 ou la Coccinelle, équipées d'un moteur situé à l'arrière, la MINI est dotée d'un moteur à l'avant. Les années 1960 sont les plus glorieuses pour la MINI, avec des déclinaisons sportives (Cooper) et des versions break (Clubman). Elle acquiert une véritable notoriété parmi les célébrités. Elle est conduite par les Beatles et George Harrison, qui la personnalisent avec des dessins psychédéliques, ainsi que par Steve McQueen et Brigitte Bardot.

Ce succès se traduit aussi dans les ventes, faisant de la MINI l'une des voitures les plus populaires en Europe dans les 70's. Sur le plan sportif, la MINI s'illustre en rallye de 1963 à 1968 avec de nombreux succès sur le rallye Monte-Carlo. Sa suprématie sur cette épreuve est indiscutable, et elle règne sans partage dans les années 1960.

La MINI est une voiture qui traverse les décennies tout en conservant son charme et son style unique. Aujourd'hui encore, elle continue de séduire les passionnés d'automobiles et reste une icône intemporelle de l'industrie.

L'histoire de la Mini Cooper

L'histoire de la Mini débute en 1963, lorsque les quatre Mini engagées réussissent à terminer la course. L'une d'entre elles se classe première dans la catégorie "tourisme de série normale et améliorée" et troisième au classement général.

L'année suivante, la Mini remporte le rallye Monte-Carlo avec un équipage 100% britannique. Timo Makinen et Paul Easter réitèrent l'exploit en 1965. En 1966, pour la troisième année consécutive, les Mini terminent le rallye Monte-Carlo en tête. Elles s'emparent les trois premières places du classement général.

Malheureusement, lors des vérifications techniques à l'issue du rallye, les trois Mini officielles sont disqualifiées. La cause en est des éclairages non conformes au règlement, les quatre phares additionnels n'étant pas homologués en France. La revanche est prise dès l'édition 1967, avec une nouvelle victoire, cette fois incontestable, Rauno Aaltonen remportant la classique monégasque.

Aujourd'hui, la Mini appartient au patrimoine anglais, tout comme la 2 CV en France, la Fiat 500 en Italie ou la Coccinelle en Allemagne. Elle incarne à elle seule l'esprit british.

Notre Assurance Mini Cooper

Depuis plus de 80 ans, Mascotte assurances est le spécialiste de l’assurance auto prestige. Nous avons créé 3 formules d'assurances. Contactez un de nos experts pour qu'il réponde à vos questions et qu'il vous envoie un devis adapté pour votre mini cooper.

Nos formules d'assurances sont conçues pour vous offrir une protection optimale, adaptée à la valeur et aux caractéristiques uniques de votre Mini Cooper. Que vous souhaitiez une couverture complète pour une tranquillité d'esprit totale, une formule intermédiaire qui combine protection et flexibilité, ou une option plus économique qui répond à vos besoins essentiels, nous avons la solution qui vous convient. Protégez votre investissement et roulez en toute sérénité avec Mascotte Assurances.

 


Amis collectionneurs, prenez garde aux fausses contraventions !

Prenez garde à l’arnaque aux fausses contraventions de stationnement !

Depuis plusieurs mois maintenant, une arnaque avec QR Code se développe dans la capitale parisienne mais aussi dans plusieurs agglomérations françaises.

Mails et documents, accompagnés du symbole de la République Française, fleurissent dans nos messageries et sur nos parebrises alléguant d'un stationnement irrégulier.

Ces messages s'accompagnent d’un QR code invitant à s'acquitter sans attendre du montant de l’amende.

Prenez garde à l’arnaque aux fausses contraventions de stationnement !

La fraude commence par un document pourvu d’un QR code trouvé sur le pare-brise au moment de récupérer son véhicule stationné.

Ce document précise que vous allez recevoir prochainement une contravention pour stationnement interdit.

Le papier à entête de la Marianne qui incarne la République Française s'intitule « INFORMATION ». Il vous indique qu’une « infraction à la réglementation du stationnement a été relevée à votre encontre ».

Il précise, par ailleurs, que « vous recevrez prochainement par courrier, à l'adresse figurant sur le certificat d'immatriculation du véhicule, un avis de contravention ».

Une escroquerie parfaitement bien imaginée

Cette fausse contravention vous propose ensuite de vous acquitter sans attendre de cette contravention en flashant le QR code à l'aide de l’appareil photo de votre téléphone portable.

Ne faites surtout pas cette erreur… Une fois le QR code scanné, vous êtes redirigé sur un site frauduleux (copie conforme du site officiel) qui captera toutes vos données personnelles. Cette méthode s'appelle l'hameçonnage, ou encore le phishing.

Bon à savoir : Vous ne devez régler vos contraventions que sur le site amendes.gouv.fr. Si vous pensez qu’il s’agit d’un site frauduleux, vous devez immédiatement quitter la fenêtre de navigation. Souvenez-vous qu’aucune administration ne sollicitera vos données bancaires ou vos mots de passe par téléphone ou par message électronique. Vous seul avez la possibilité de régler (ou consigner) par carte bancaire les amendes dont le numéro de télépaiement est présent sur la carte de paiement ainsi que les forfaits de post stationnement majorés.

Comment être certain qu’il s’agit bien d’une arnaque ?

Ce document contient bien des informations officielles du gouvernement sauf qu'il n'est pas totalement conforme à celui des autorités officielles. Tout d’abord, son format est plus grand que l’habituel document de contravention.

De plus, si vous remarquez une extension du nom de domaine comme gouv-fr.fr, redoublez de vigilance. Appelez immédiatement le 17 ou le 112.

En cas de doute, vous pouvez vous rendre au commissariat ou à la gendarmerie, ou sur le site internet masecurite.interieur.gouv  pour être informé des démarches en ligne, si vous pensez être victime d’une arnaque à la fausse contravention de stationnement.

Bon à savoir : Suivez les recommandations de la CNIL. Transférez votre message au numéro 33700, la plateforme de signalement des spams vocaux et SMS. Vous pouvez également signaler le site internet frauduleux sur https://www.internet-signalement.gouv.fr/PharosS1/.

Le barème des amendes de stationnement à connaître

Vous pouvez consulter ce barème sur le site de l’ANTAI.

En cas de stationnement gênant ou abusif, une amende de deuxième classe sanctionne le contrevenant. En cas de stationnement considéré comme très gênant ou dangereux, le contrevenant est sanctionné par une amende de quatrième classe.

Le montant de ces amendes varie de 38 € jusqu’à 135 €. Notamment lorsque vous stationnez le véhicule sur un passage piéton ou sur un emplacement réservé aux personnes handicapées.

Lorsque la menace de phishing est quasiment parfaite

Encore près de deux tiers des français se font berner par ces arnaques au phishing.

D'ici fin d’année, le gouvernement français devrait mettre en place un filtre anti-arnaques dont le nom officiel est « filtre national de cybersécurité grand public » sur internet qui alertera les internautes qui cliquent sur un lien qui dirige vers un site frauduleux.


Des comportements de plus en plus agressifs au volant

Les comportements ont tendance à changer lorsque l’on prend le volant.

Toutefois, ce phénomène touche aujourd’hui de plus en plus d’automobilistes.

Pour quelle raison la voiture rend-t-elle de plus en plus de gens agressifs ?

La question est posée…

L’agressivité au volant : mythe ou réalité ?

Aucun doute possible…

Les comportements colériques voire agressifs au volant sont de plus en plus nombreux.

Les différentes études du comportement récemment menées démontrent une dégradation des comportements des automobilistes au volant de leur véhicule.

Un changement d’attitude radical de certaines personnes qui se traduit par des comportements inadaptés.

C’est un peu comme si ces brebis en temps normal se transformaient en loups enragés.

Comment interpréter ce phénomène ?

Selon une étude commandée par la Sécurité routière, les incivilités au volant sont de plus en plus fréquentes.

Les automobilistes français seraient de moins en moins courtois, et feraient preuve de plus en plus d'agressivité au volant.

Un manque manifeste de civilité et de communication entre usagers de la route seraient à l’origine de cet accroissement des incivilités au volant.

Des incivilités de plus en plus nombreuses qui se traduisent par un non-respect des règles élémentaires du Code de la Route ou une réelle détermination de nuire.

Cette montée de l’intolérance et de l'agressivité est réelle puisque plus d’un automobiliste sur deux estiment être agressifs lors de leurs déplacements, et cela quel que soit le mode de déplacement utilisé. Au volant, près de deux tiers des automobilistes considèrent être belliqueux, voire batailleur, au volant (contre plus d’un tiers pour les piétons).

Égocentrique, et néanmoins vigilant

C’est un paradoxe certain mis en exergue par l’étude commandée par la Sécurité routière, et menée par Opinion Way.

Selon cette étude, 86% des automobilistes français pensent que les autres usagers sur la route ont une attitude individualiste (91% pour les automobilistes de Paris et de la région parisienne).

À l'inverse, 93% jugent qu'ils sont attentifs aux autres, tout en convenant adopter eux-mêmes des comportements dangereux au volant.

52% d’entre eux admettent ainsi être quelquefois agressifs lors de leurs déplacements.

Ces comportements acérés concernent tous les modes de déplacement (trottinettes, vélos, voitures, motos, scooters, camions). Ils entrainent une augmentation de l’insécurité qui se traduit par une hausse de la mortalité selon les dernières statistiques publiées par la Sécurité Routière.

Des conducteurs de plus en plus irrespectueux envers les autres usagers de la route

Selon une étude menée par Vinci Autoroutes dans le courant du premier trimestre 2023, 52% des automobilistes européens avouent invectiver les autres conducteurs contre 65% pour les conducteurs français. Par ailleurs, 34 % d’entre eux reconnaissent coller de trop près les véhicules qui les irritent et 20 % descendent de leur voiture lorsque le ton monte.

Si la plupart d’entre eux regrettent ces injures, gestes d’énervement et coups de klaxons intempestifs, beaucoup indiquent que ces attitudes sont la résultante du comportement irrespectueux des autres usagers de la route (véhicules qui tournent sans clignotant, bloquent la circulation, refusent une priorité ou adoptent une conduite dangereuse, …).

En outre, si les hommes commettent le plus souvent ces actes d’incivilité, on relève une hausse de l’agressivité des femmes au volant.

Des incivilités qui mettent en danger les autres usagers de la route, et qui pour certaines peuvent être dues au stress, ou encore à l’usage d’alcool ou de stupéfiants au volant, à l’utilisation du téléphone au volant.

Alors, à quand un retour à la tolérance et à la courtoisie d’autrefois ?

 

 

 

Des comportements de plus en plus agressifs au volant

Publié le 03/07/2023